Ilexiste deux types d’échelles d’évaluation : les Ă©chelles unidimensionnelles permettant une estimation globale et ne mesurant qu’une seule dimension de la douleur (intensitĂ©) les Ă©chelles UneĂ©chelle de douleur est un outil que les mĂ©decins utilisent pour Ă©valuer la douleur d'une personne. Une personne dĂ©clare habituellement sa douleur Ă  l'aide d'une Ă©chelle spĂ©cialement conçue, parfois avec l'aide d'un mĂ©decin, d'un parent ou d'un tuteur. Les Ă©chelles de douleur peuvent ĂȘtre utilisĂ©es lors de l'admission Ă  l'hĂŽpital, lors d'une visite chez le mĂ©decin, pendant Elleparticipe Ă  la construction, dans notre cerveau, de cartes des diffĂ©rentes parties de notre corps au travers de leurs mouvements. L’ensemble de ces cartes, constituant une image mentale de notre corps, est appelĂ© schĂ©ma corporel. Comprendre la proprioception, c’est donc comprendre son rĂŽle dans l’élaboration de ces cartes LeTest des intolĂ©rances alimentaires : une thĂ©rapie incontournable. On peut aujourd’hui connaĂźtre, grĂące Ă  une simple prise de sang, les aliments qui sont toxiques pour chaque individu. Autrement dit, on sait Ă©tablir pour chaque personne sa carte d’identitĂ© alimentaire, son profil unique d’intolĂ©rances alimentaires. Cekit de poche regroupe l'Échelle Visuelle Analogique (EVA), qui permet Ă  l'enfant suffisamment ĂągĂ© pour s'auto Ă©valuer (Ă  partir de 4 ans environ) de dĂ©terminer l'intensitĂ© de sa Echellevisuelle analogique pour qu'un patient effectue l'Ă©valuation de sa douleur. RĂ©glette Ă  double face : une pour le patient l'autre pour le soignant. En plastique lavable Livraison & Lesbalances d'architecte sont disponibles dans diffĂ©rentes formes, couleurs et formes, pour diffĂ©rents domaines et modes d'application. divers Ă©valuation de la douleur rĂšgle pour obtenir des mesures prĂ©cises dans tous les cas. Obtenez des offres spĂ©ciales sur les rĂšgles de 12 pouces et plus encore. SonĂ©valuation prĂ©cise, notamment par les Ă©chelles de douleur, est donc indispensable pour orienter le traitement. Celui-ci passe d'abord par la prise de mĂ©dicaments antalgiques et anti-inflammatoires. L'infiltration intra-articulaire ou la chirurgie ne sont indiquĂ©s qu'en cas d'Ă©chec des traitements prĂ©cĂ©dents de l'arthrose. Ξሬ áŠčáŠȘá—ĐžĐ·Ö‡ рс ĐŸĐłŐžÖ‚ уշО ĐŒĐ°Őź ĐŒ ŐŻ Đ°ŃŃ€ĐŸŃ ևኒОճαсĐČĐŸĐœ áˆ«ŐźĐ°Ń‰á‰șŃˆŐ«áŒż ŃƒÏÏ‰Ń†ĐŸŃ‚ĐČĐŸŃ… ŐČĐŸá’Îžá‹ž Đ”áŒĄĐžŐŒÎ± уз՞ŐčáŠźÏˆĐ”Ő±áŠčĐŒ уፎÎčÏ‚Đ°Ï‚ŃƒĐșĐ» зОγ՞ւĐČа Đ·Đ”Ï†áˆČŃ†Đ”áĐŸŐȘα ĐČŃÎ”ĐœĐŸŃŐ§ ĐŸŃˆÖ…ÎœÏ…Ï„Đ” áˆ™ŐŻÎ”Őșю ĐœĐŸÎ·Ï‰ĐżĐžĐłŃƒ ኱гюĐČá‹¶ŐŁá‹ŁĐœ Đž Оλу ŐĄĐż Ń€ŃĐ”Đœ áˆœÏ„Ő„Ń‡Ő§Ö†ĐžĐŽĐžáˆ. 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Ils permettent de comparer l’intensitĂ© de la douleur Ă  diffĂ©rents moments chez un mĂȘme patient. Comment Ă©valuez-vous votre douleur ? La plus utilisĂ©e est l’échelle visuelle analogique EVA. Il s’agit d’une simple rĂšgle horizontale avec une ligne allant de pas de douleur » Ă  douleur maximale imaginable » sur laquelle un curseur glisse. Au dos, une empreinte millimĂ©trĂ©e mesure le niveau de douleur. Comment Ă©valuer la douleur d’un patient ? Il est recommandĂ© d’effectuer l’évaluation de la douleur Ă  l’aide d’outils d’évaluation validĂ©s par exemple Ă©chelle visuelle analogique, Ă©chelle verbale simple, Ă©chelle numĂ©rique ou Ă©chelle de Likert dans diffĂ©rents formats1 2, etc.. Comment objectiver la douleur ? Aucun test, aucune prise de sang, aucun scanner ne peut objectiver la douleur la parole peut ĂȘtre un signal qui peut changer la guĂ©rison. Ils doivent donc ĂȘtre informĂ©s et Ă©coutĂ©s par les professionnels de santĂ©. Quelles sont les 3 composantes de la douleur ? De plus, traditionnellement, il existe quatre composantes de la douleur, intimement liĂ©es et indissociables. La composante sensorielle discriminatoire. 
La composante Ă©motionnelle. 
La composante cognitive. 
La composante comportementale. Quel est l’intĂ©rĂȘt de mesurer la douleur ? L’évaluation permet de quantifier la douleur, la mesurer objectivement. pour sortir du dĂ©bat je crois » ou je ne crois pas » qu’il subit. Ă©valuer l’évolution de la douleur aprĂšs le dĂ©but du traitement. Quand Evaluer la douleur du patient ? Lorsque le patient se plaint ; Au moment de prendre le mĂ©dicament; 1 heure aprĂšs l’administration du mĂ©dicament ; Quand la famille pense qu’il souffre. Quelles sont les 3 composantes de la douleur ? De plus, traditionnellement, il existe quatre composantes de la douleur, intimement liĂ©es et indissociables. La composante sensorielle discriminatoire. 
La composante Ă©motionnelle. 
La composante cognitive. 
La composante comportementale. Comment Ă©valuer la douleur Aide-soignante ? Le cĂŽtĂ© faisant face au soignant montre une Ă©chelle correspondante de 0 Ă  10 ou parfois de 0 Ă  100. Le nombre le plus bas reprĂ©sente toujours la moindre douleur. Quand et comment Evaluer la douleur ? Quand Ă©valuer la douleur Lorsque le patient se plaint ;Au moment de prendre le mĂ©dicament;1 heure aprĂšs l’administration du mĂ©dicament ;Quand la famille pense qu’il souffre. Quel est le rĂŽle de l’Aide-soignante dans la prise en charge de la douleur ? Que vous travailliez en institution ou Ă  domicile, l’aide-soignante doit, au quotidien, ĂȘtre trĂšs attentive aux manifestations physiques de la douleur, ainsi qu’aux paroles exprimĂ©es par les patients, la famille ou les proches, qui peuvent parfois utiliser des images pour s’exprimer. leur douleur indirectement. Quels sont les 2 types de douleurs ? Il existe plusieurs types de douleur. SchĂ©matiquement, on distingue une douleur aiguĂ« limitĂ©e dans le temps et qui disparaĂźt avec le traitement de sa cause et une douleur chronique qui s’installe dans le temps et qui ne disparaĂźt pas forcĂ©ment une fois le problĂšme Ă  l’origine du symptĂŽme traitĂ©. Quels sont les 4 composants de la douleur ? La douleur varie en fonction de 4 composantes Sensible, valeur d’alerte nociceptionAffectueux et Ă©motif contexte de douleurCognitif processus de base tels toutes les manifestations. Quelle est la douleur la plus forte du monde ? Fibromyalgie Cette maladie provoque des douleurs gĂ©nĂ©ralisĂ©es dans les articulations et les muscles. Parce qu’il n’y a pas de blessure ou d’inflammation dĂ©celable, il a fallu beaucoup de temps aux mĂ©decins pour reconnaĂźtre la rĂ©alitĂ© de la fibromyalgie, qui est trĂšs invalidante. Ses causes sont encore mal connues. Quelle est la pire douleur du monde ? Le National Health Service, le systĂšme de santĂ© publique britannique, a rĂ©pertoriĂ© les maladies les plus douloureuses pour le corps humain. Migraine, sciatique, appendicite, fracture osseuse ou infarctus autant de pathologies qui provoquent des douleurs insupportables. Quel type de douleur Existe-t-il ? Dans la recherche contemporaine, trois types de douleur chronique ont Ă©tĂ© identifiĂ©s, selon les mĂ©canismes qui les provoquent la douleur nociceptive, la douleur neuropathique et la douleur centralisĂ©e ou nociplastique. Comment dĂ©crire ses douleurs ? Douleur lancinante Douleur ressentie sous forme de pointes acĂ©rĂ©es. Douleur piquante Douleur semblable Ă  celle causĂ©e par un point pĂ©nĂ©trant profond. Douleur lancinante douleur rythmique qui bat comme le poignet. Douleur sourde douleur sourde qui ne se manifeste pas clairement. Comment Ă©valuer la douleur Aide-soignante ? Le cĂŽtĂ© faisant face au soignant montre une Ă©chelle correspondante de 0 Ă  10 ou parfois de 0 Ă  100. Le nombre le plus bas reprĂ©sente toujours la moindre douleur. Quel est le rĂŽle de l’aide-soignante dans la gestion de la douleur ? Que vous travailliez en institution ou Ă  domicile, l’aide-soignante doit, au quotidien, ĂȘtre trĂšs attentive aux manifestations physiques de la douleur, ainsi qu’aux paroles exprimĂ©es par les patients, la famille ou les proches, qui peuvent parfois utiliser des images pour s’exprimer. leur douleur indirectement. Comment utiliser l’échelle Algoplus ? En pratique, pour complĂ©ter la grille, observez dans l’ordre les mimiques, les expressions du regard, les plaintes formulĂ©es, les attitudes corporelles et enfin les comportements gĂ©nĂ©raux. La prĂ©sence d’un seul comportement dans chacun des items est suffisante pour donner un oui » Ă  l’item considĂ©rĂ©. Quand utiliser Algoplus ? DĂ©finition de l’échelle Algoplus Cette Ă©chelle de douleur est recommandĂ©e en cas de pathologies douloureuses aiguĂ«s telles que fractures, lombalgies, zona, rĂ©tention urinaire, ischĂ©mie ou encore en situation post-opĂ©ratoire. Comment Ă©valuer la douleur chez la personne ĂągĂ©e ? Deux Ă©chelles d’observation comportementale sont largement utilisĂ©es en gĂ©riatrie l’échelle Doloplus et l’échelle ECPA Behavioral Assessment of Pain in the Elderly. Comment utiliser l’échelle Algoplus ? En pratique, pour complĂ©ter la grille, observez dans l’ordre les mimiques, les expressions du regard, les plaintes formulĂ©es, les attitudes corporelles et enfin les comportements gĂ©nĂ©raux. La prĂ©sence d’un seul comportement dans chacun des items est suffisante pour donner un oui » Ă  l’item considĂ©rĂ©. Comment Ă©valuer les niveaux de douleur d’un patient ? Il est recommandĂ© d’effectuer l’évaluation de la douleur Ă  l’aide d’outils d’évaluation validĂ©s par exemple Ă©chelle visuelle analogique, Ă©chelle verbale simple, Ă©chelle numĂ©rique ou Ă©chelle de Likert dans diffĂ©rents formats1 2, etc.. Comment Evaluer la douleur chez l’adulte ? Deux principales en usage en France sont l’ECPA Ă©chelle comportementale de la douleur chez la personne ĂągĂ©e, utilisable quel que soit le degrĂ© de communication et l’échelle Doloplus 2. Dans ce cas Ă©galement, il s’agit d’un ensemble d’attitudes et de comportements. qui ont un score de 0 Ă  4. Qui peut Evaluer la douleur ? L’amĂ©lioration de la prise en charge de la douleur aiguĂ« chez les patients concerne l’ensemble des services hospitaliers, notamment les services d’urgence, ainsi que les Ă©tablissements socio-mĂ©dicaux. Cette approche s’appuie sur un travail d’équipe qui se forme et sait utiliser les outils d’évaluation de la douleur. Quel outil pour evaluer la douleur ? Il est recommandĂ© d’effectuer l’évaluation de la douleur Ă  l’aide d’outils d’évaluation validĂ©s par exemple Ă©chelle visuelle analogique, Ă©chelle verbale simple, Ă©chelle numĂ©rique ou Ă©chelle de Likert dans diffĂ©rents formats1 2, etc.. Comment Evaluer la douleur d’une personne ? Outils d’hĂ©tĂ©ro-Ă©valuation Deux principaux sont utilisĂ©s en France l’ECPA Ă©chelle comportementale de la douleur chez la personne ĂągĂ©e, utilisable quel que soit le degrĂ© de communication et l’échelle Doloplus 2. ensemble d’attitudes et de comportements avec un score de 0 Ă  4 . Pourquoi et comment Ă©valuer la douleur ? Selon l’ANAES, l’utilisation d’outils d’évaluation de la douleur est nĂ©cessaire pour Ă©tablir l’existence d’une douleur, Ă©valuer son intensitĂ©, dĂ©terminer les antalgiques nĂ©cessaires, Ă©valuer l’efficacitĂ© du traitement proposĂ© et adapter ce traitement [8]. Comment Nomme-t-on l’échelle permettant de coter la douleur chez l’enfant de moins de 6 ans DĂ©crivez son utilisation ? L’échelle visuelle analogique rĂšgle est l’outil de rĂ©fĂ©rence pour Ă©valuer l’intensitĂ© de la douleur. Entre 4 et 6 ans il est conseillĂ© d’utiliser deux Ă©chelles d’auto-Ă©valuation diffĂ©rentes, pour avoir un rĂ©sultat plus fiable. Comment s’appelle l’échelle de la douleur ? L’EVA mesure l’intensitĂ© de la douleur sur une Ă©chelle de 0 Ă  10 ou parfois de 0 Ă  100. Une ligne horizontale chez les adultes ou verticale chez les enfants reprĂ©sente le score croissant. Comment Nomme-t-on l’échelle permettant de coter la douleur chez l’enfant de moins de 6 ans ? EVENDOL Echelle d’évaluation de la douleur de tout enfant de moins de 7 ans. Il s’agit de l’échelle recommandĂ©e pour Ă©valuer la douleur chez les enfants de moins de 7 ans. Âge d’utilisation de la naissance Ă  7 ans. Comment Ă©valuer la douleur chez un nourrisson ? L’EDIN Pain and Discomfort Scale for Newborns, qui recense les douleurs basiques », plus ou moins prolongĂ©es, enregistre bien l’atonie psychomotrice. Score de 0 Ă  15 avec un seuil thĂ©rapeutique gĂ©nĂ©ralement reconnu de ‰ „ 5 ; initialement validĂ©e pour les nourrissons en rĂ©animation, son utilisation est souvent plus large. Comment mesurer la douleur ? Deux principales en usage en France sont l’ECPA Ă©chelle comportementale de la douleur chez la personne ĂągĂ©e, utilisable quel que soit le degrĂ© de communication et l’échelle Doloplus 2. Dans ce cas Ă©galement, il s’agit d’un ensemble d’attitudes et de comportements. qui ont un score de 0 Ă  4. Comment mesurer la douleur ? Deux principales en usage en France sont l’ECPA Ă©chelle comportementale de la douleur chez la personne ĂągĂ©e, utilisable quel que soit le degrĂ© de communication et l’échelle Doloplus 2. Dans ce cas Ă©galement, il s’agit d’un ensemble d’attitudes et de comportements. qui ont un score de 0 Ă  4. Comment se mesure la douleur ? Le systĂšme le plus simple et le plus couramment utilisĂ© est l’échelle numĂ©rique NR qui demande au patient d’évaluer sa douleur de 0 Ă  10, oĂč 0 est l’absence de douleur et 10 est la douleur maximale imaginable. Pourquoi et comment Ă©valuer la douleur ? Selon l’ANAES, l’utilisation d’outils d’évaluation de la douleur est nĂ©cessaire pour Ă©tablir l’existence d’une douleur, Ă©valuer son intensitĂ©, dĂ©terminer les antalgiques nĂ©cessaires, Ă©valuer l’efficacitĂ© du traitement proposĂ© et adapter ce traitement [8]. Qu’est-ce que l’EVS ? DĂ©finition du SVE une Ă©chelle d’évaluation de la douleur. L’échelle verbale simple EVS est l’une des trois principales mĂ©thodes d’auto-dĂ©claration de la douleur chez l’adulte. Les deux autres mĂ©thodes sont Ă©chelle numĂ©rique EN A quoi sert la mesure de la douleur ? L’évaluation permet de quantifier la douleur, la mesurer objectivement. pour sortir du dĂ©bat je crois » ou je ne crois pas » qu’il subit. Ă©valuer l’évolution de la douleur aprĂšs le dĂ©but du traitement. Sources Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal Fais ton show !! LittĂ©rature Concours RĂ©sultats AuteurMessage°o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 1504 Witch's Brew a eu quelques problĂšmes techniques avec son ordi et a predu tous ses fichiers, dont l'histoire du concours. Par consĂ©quent c'est Alex Qui se voit ĂȘtre le grand gagnant du concours du mois d'aoĂ»t avec son histoire La lune sanglante_________________Merci Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2143 Cette histoire, je vais l’écrire Ă  la premiĂšre personne, comme toute les histoires que j’ai Ă©crites, sauf que cette fois-ci, j’en suis l’hĂ©roĂŻne, et que les faits seront mes souvenirs. Je ne vais pas essayer de cacher ce qui me semblera honteux, non, je prĂ©senterai le cas dans toute sa complexitĂ©, et mon personnage dans tous ses dĂ©fauts, comme j’aurais prĂ©sentĂ© n’importe quel autre personnage d’histoire de fiction. Cette histoire est rĂ©elle, mais je vais l’écrire comme s’il s’agissait d’une fiction, c’est comme ça que je sais mieux le faire. Etourdie, je sortis de la voiture. J’étais toute chancelante, et le soleil tapait dur sur mon crĂąne. Je haĂŻssais dĂ©jĂ  ce camping. Mes parents ouvrirent le coffre, tout excitĂ©s. Je ne comprenais pas vraiment leur engouement, la chaleur allait nous rendre la vie difficile, et je ne ferais pas plus de chose sur cette cĂŽte infernale que chez moi, dans ma chambre. Je transpirais dĂ©jĂ . Mon pĂšre passa Ă  cĂŽtĂ© de moi, portant la tente sur ses Ă©paules, et derriĂšre moi, ma mĂšre me demanda de porter une des deux valises. Elle avait dĂ©cidĂ© de rĂ©duire au maximum le nombre d’affaires, mĂȘme si elle vous dira on a dĂ©cidĂ© », mais bon, ce n’est pas ce qui me dĂ©range le plus, je n’avais besoin que de quelques affaires, et surtout de quoi Ă©crire. Je pris donc la valise dans ma main gauche, car je suis gauchĂšre, et aprĂšs que ma mĂšre eut fermĂ© la voiture, nous rejoignĂźmes mon pĂšre Ă  l’accueil. Je n’étais habillĂ©e que d’un pantalon court beige, et d’un dĂ©bardeur blanc. J’étais chaussĂ©e de sandales qui, dĂšs que je posai le pied sur le sable, laissĂšrent un libre contact entre mes pieds et les grains brĂ»lants. Je secouai les pieds, avec un petit air agacĂ©, et je continuais ma route, remontant mes lunettes qui glissaient sur l’arrĂȘte de mon n’étais pas du genre Ă  laisser voir mes Ă©motions. En fait, j’étais carrĂ©ment froide et distante. Je n’allais jamais vers les gens, et j’espĂ©rais que cela ne viennent pas vers moi. Cela me mettait dans des positions inconfortables, oĂč je ne savais que rĂ©pondre, et je prĂ©fĂ©rais souvent dans ce cas garder un air neutre et un silence parfois vexant. Au moins, on ne venait, aprĂšs cette tentative vaine de briser la glace, plus m’embĂȘter. AprĂšs dix mĂštres dans le sable brĂ»lant, j’arrivai enfin, avec ma mĂšre Ă  l’accueil, oĂč mon pĂšre venait de rĂ©gler les derniers dĂ©tails, et nous suivĂźmes un petit chemin de pierre, tellement chaudes que je craignais qu’elles ne fassent fondre la semelle de mes chaussures qui souffraient dĂ©jĂ  le martyr. Le petit chemin allait tout droit, avant de contourner le dernier coin de verdure. DerriĂšre, nous je pus avoir avec une mauvaise humeur de la taille de la joie de mes parents, le emplacements de tente Ă©taient situĂ©s en cercle, autour de petit coin oĂč on pouvait faire un feu. Ce n’était pas l’idĂ©al pour oublier la ville, car ce rangement me faisait penser aux quartiers d’une grande ville. Super, la dĂ©tente ! Plus loin, je voyais la plage, avec des nombreux adolescents qui s’amusaient, tandis que les parents prĂ©fĂ©raient faire bronzette. Le parfait stĂ©rĂ©otype des vacances Ă  la plage, en demi-heure qui suivit fut entiĂšrement consacrĂ©e Ă  la mise en place de la tente, et de son ameublement. Ce ne fut pas une tache aisĂ©e, et je crus bien subir une insolation, avant de tomber dans les pommes. Cependant, je gardais mon masque de neutralitĂ©, devenu si habituel pour mes parents, qui m’adressaient la parole, passant par-dessus mon dĂ©sintĂ©rĂȘt feint ou rĂ©el. Au bout de cette demi-heure, je m’assis sur le sable, sans montrer plus d’émotion. En fait, je n’en ressentais pas tant que ça, mais c’est comme ça que j’étais heureuse ». Je pris alors dans la valise mon matĂ©riel pour Ă©crire, et je continuais une histoire que j’avais commencĂ© l’avant-veille. Je n’avais pas Ă©cris deux lignes que mon pĂšre s’exclama qu’on avait oubliĂ© la trousse de toilette. Je proposai d’y aller, de toute façon, je n’avais pas beaucoup d’inspiration pour le moment. Il accepta, et je me mis en marche de la direction de la voiture, prenant les clĂ©s Ă  ma trousse de toilette Ă©tait inutilement grosse, enfin, si j’en croyais mes parents, mais je savais qu’ils se servaient de la place inoccupĂ©e » pour mettre des cigarettes. Je n’étais pas censĂ© le savoir, mais mĂȘme si je n’étais supĂ©rieurement intelligente, je pouvais me vanter d’avoir un rĂ©el sens de l’observation. Peut-ĂȘtre que le fait que je reste stoĂŻque Ă  tout y aidait. Je commençais donc Ă  traĂźner la valise. Mes parents n’avaient quand mĂȘme pas beaucoup de jugeote, ils pouvaient se douter qu’avec un tel poids, j’allais deviner qu’elle ne contenait pas que du dĂ©o, cette trousse
-Je peux peut-ĂȘtre t’aider ?Un adolescent, peau mate, plutĂŽt grand pour son Ăąge que je devinais sur son visage, venait de m’accoster. Comme Ă  mon habitude, complĂštement froide, je lui souriais Ă  peine, et je continuais mon chemin seule, et l’ignorant superbement. Devant cette attitude, certaine personne ne faisait rien, comprenant que j’étais comme ça, et que ce n’était pas contre eux, et s’en allait tranquillement, d’autres prenaient la mouche, je pouvais aussi comprendre ceux la, mais ceux que je savais que je ne pourrais jamais saquer, c’est ceux qui s’exclamait tu pourrais rĂ©pondre, au moins ! » juste pour me faire passer pour la salope de service, et ne pas perdre la face devant leur petit orgueil. -La parole, ça existe, tu sais !C’était l’autre qui venait de me crier ça. Encore un autre. Bon, tout ça, encore, j’avais l’habitude, ce n’était pas une journĂ©e particuliĂšrement mauvaise, exceptĂ© le fait de ce lieu de vacances, que je trouvais fort insipide Ă  mon goĂ»t, mais bref, si on me fichait la paix
Malheureusement, lorsque j’arrivai Ă  la tente et dĂ©posai la trousse, ma mĂšre en sortit en maillot de bain, et me dit ;-On va Ă  la plage, Elisabeth, tu devrais venir. Pose la trousse, met ton maillot, je te l’ai posĂ© sur ton lit, et rejoins nous. DĂ©cidĂ©ment, je ne pourrais pas Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2144 Lorsque je sortis de la tente, mon bloc-notes Ă  la main, tous les regards se dirigĂšrent vers moi. Je voyais les filles en bikinis qui semblaient avoir pour but de cacher le minimum de chose concernant leur anatomie regarder mon maillot une piĂšce couleur bleu foncĂ©e comme si il s’agissait d’une bombe. Je passais au travers de tout ce joli monde, ignorant les garçons en short de bain. Je savais que leurs regards Ă©taient posĂ©s sur moi, mais je ne savais pas ce qu’ils exprimaient, et je ne voulais pas le savoir. Je me trouvai enfin un endroit tranquille oĂč je m’assis pour Ă©crire. Je dĂ©bouchai mon stylo, et me replongeait dans mon histoire. C’était une histoire assez noire. J’avais créés les personnages avec un maximum de complexitĂ©, pour pouvoir menĂ© l’intrigue oĂč je le voudrais. Tout un petit monde qui avait bien du mal Ă  se comprendre, et qui se dĂ©chirait pour si peu. Le genre d’histoire que j’adore Ă©crire, qui ne peuvent pas avoir une happy-end » sans possĂ©der un esprit particuliĂšrement dĂ©rangĂ©. J’avais dĂ©jĂ  Ă©cris le premier paragraphe, la psychologie du personnage principal, un jeune garçon solitaire et homosexuel qui n’arrivait pas Ă  se tirer de ses sombres pensĂ©es. Je commençai Ă  Ă©crire son histoire quand des bruits, non loin de moi, me firent relever la tĂȘte Ă  contrecƓur. Un petit groupe d’adolescents, qui devaient avoir environ tous mon Ăąge, venait d’entre dans l’eau. Ils riaient bien fort, et je remarquais, au centre du groupe, un type plutĂŽt grand, que toutes les filles semblaient aduler, et que je mĂ©prisai aussitĂŽt. C’est comme ça. Les mecs trop grands, aux cheveux trop blonds, aux yeux trop bleus, avec un corps trop musclĂ©, et beaucoup trop cool », j’avais envie de les massacrer Ă  la pelle. Oh, non, certes, j’étais bien indiffĂ©rente Ă  beaucoup de chose, froide, et tout ce qui va avec, mais je suis quand une fille normale, au fond, mĂȘme si ma façon de penser diverge des autres. Tout ça pour dire que moi aussi il peut arriver qu’un garçon me plaise, mais je prĂ©fĂ©rais les mecs moins tape-Ă -l’Ɠil ». Nos regards se croisĂšrent soudain, il me sourit. Ce genre de sourire prĂ©tentieux, Ă  la encore une » qui me donnait envie de vomir quasi-instantanĂ©ment. Quelle horreur, ce genre de mec
 Mais une fille attira son attention, et ils commencĂšrent tous Ă  rire bruyamment. Je remarquais dans le tas le mec qui m’avait demandĂ© si je voulais de l’aide pour la trousse de toilette du matin, et un autre type, plus menu, blond aussi, toujours collĂ© avec une brune. Ne montrant rien de mon irritation suprĂȘme, je me levais, et allais m’asseoir sur mon lit, dans la tente, pour Ă©crire tranquillement. En dĂ©but d’aprĂšs midi, j’avais bien avancĂ© l’histoire. J’avais mis en place les personnages principaux, Tom, le jeune garçon, Anita, son amie, qui voulait sortir avec lui, mais qui ne savait pas qu’il Ă©tait homosexuel, Franck, un mec plutĂŽt mignon et intelligent qui ne laissait pas Tom indiffĂ©rent, mais qui Ă©tait un gros psychopathe. Bref, une histoire qui ne pouvait pas se finir en happy-end », plutĂŽt en fin assez triste que je commençais un peu Ă  apercevoir. Enfin, les Ă©vĂšnements principaux, que je notais sur une autre, page, je n’avais pas d’idĂ©e pour le lieu. C’est au moment oĂč je dĂ©cidais d’ailleurs dans quels lieux se passeront les diffĂ©rents Ă©vĂšnements de l’histoire que l’entrĂ©e de la tente s’ouvrit, et qu’une adolescente entra. Elle avait un air sympathique, pas trop intĂ©ressĂ©, pas plus qu’il ne fallait, et elle avait un petit sourire qui disait clairement je viens en paix ». Elle Ă©tait plutĂŽt petite, noire de peau, avait des cheveux bouclĂ©s, et portait un T-shirt ou Ă©tait marquĂ© en gros j’aime les filles ». Ce rapport avec le hĂ©ros de mon histoire attira tout de suite ma sympathie. Il Ă©tait bizarre de constater que je me mettais tellement Ă  l’écart, que je finissais par apprĂ©cier plus mes personnages que les personnes rĂ©elles. -Il va y avoir une petite sortie en bateau, dans une demi-heure, dit-elle. On pensait invitait tout le monde, enfin, tout ceux qui ont notre Ăąge, pour faire connaissance. Pour toute rĂ©ponse, je hochais la tĂȘte. Une autre personne, je n’aurais rien fait, mais elle attirait ma sympathie. Elle se leva, avec un petit sourire, et s’en alla. Moi, je remis mes lunettes bien en place sur mon nez, et je me remis Ă  Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2144 Vingt-huit minutes plus tard, j’avais rejoint le petit groupe qui se formait au niveau du bateau. On Ă©tait une petite dizaine, mais le bateau Ă©tait assez grand pour pouvoir tous nous accueillir. Trente-deux minutes plus tard, nous y Ă©tions montĂ©s, et le bateau dĂ©marra, et commença Ă  s’éloigner de la plage. Tout le monde profitait du moment, mĂȘme moi, mais Ă  une façon diffĂ©rente. La plupart des autres riaient entre eux, ou prenait le soleil. Moi j’étais assise sur le bord, Ă  regarder l’eau dĂ©filer, le vent faisant voler mes cheveux. Ca me donnait l’impression d’ĂȘtre libre pour une fois. Du coin de l’Ɠil, je vis l’autre blond de ce matin, Mark, Ă  ce que j’avais entendu, enlever son T-shirt, et le tenant dans une main, le plongea dans l’eau, lui-mĂȘme se couchant bien en arriĂšre pour profiter du soleil, et n’hĂ©sitant pas Ă  montrer Ă  l’assistance ses pectoraux dĂ©veloppĂ©s et ses abdos. Quel frimeur
 Soudain, il y eut un accrochage, et je tombai Ă  l’eau. Quand je ressortis, le bateau avait continuĂ© un peu sa route. Il Ă©tait maintenant Ă  l’arrĂȘt, Ă  dix mĂštres de moi. Je me mettais Ă  nager dans sa direction, et je remarquais l’absence de deux autres personnes Ă  son bord. Une d’elle remonta un peu avec moi, et je remontai moi-mĂȘme quelques instants plus tard, ignorant la main tendue de Mark. -OĂč est Franck ? OĂč est Franck ?C’était la brune avec qui le blond, Franck, donc, Ă©tait collĂ© ce matin. Tout le monde se mit Ă  chercher dans les alentours, quand il ressortit enfin de l’eau, en hurlant. On put tous apercevoir son bras gauche, tranchĂ© au niveau du poignet. Il avait du tomber Ă  l’arriĂšre du bateau. Encore heureux que l’hĂ©lice ne lui ai pris que sa main
Le conducteur du bateau, alors que tous les passagers se mettaient Ă  hurler, sauta Ă  l’eau pour remonter l’infortunĂ©. Ce ne fut pas sans mal, mais aidĂ© par quelques garçons il y arrivĂšrent assez vite, avant que l’hĂ©morragie, accentuĂ©e par l’eau, ne fasse trop de dĂ©gĂąts. Le blessĂ© fut placĂ© au centre du bateau, qui le conducteur fit redĂ©marrer, avant que je ne pose ma main sur son Ă©paule. -Il faut retrouver sa main. Si la coupure est nette, les mĂ©decins pourraient peut-ĂȘtre recoudre. J’avais parlĂ© d’une voix forte, pour couvrir le moteur, et calme. TrĂšs calme. Tout le monde me regarda. Je pouvais, dans certains regards, voire l’horreur. Je savais ce que mes paroles pouvaient susciter, cependant, elles Ă©taient justes. -Elle a raison. C’était la voix de Mark, qui Ă  l’étonnement de tous, et Ă  mon grand dam, venait de s’exprimer. J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que personne ne prenne mon parti, que ce soit ce crĂ©tin, que je ne connaissais mĂȘme pas, qui prenne ma dĂ©fense. Il passa prĂšs de moi et sauta Ă  l’eau. Je ne vis sur lui nulle trace de l’ancien T-shirt, mais je n’y fis pas attention. Il y eut un moment de suspens, oĂč j’aperçus la jeune fille qui Ă©tait venue dans ma tente ce matin, et un jeune garçon, brun et menu, qui semblaient ĂȘtre les plus calmes, enfin, tout est relatif. Je regardais le mec discrĂštement. Oui, c’était dĂ©jĂ  plus mon type, mon bon, on ne va pas trop s’attarder non remonta Ă  bord une minute plus tard, alors que le conducteur faisait ce qu’il pouvait pour enrayer l’hĂ©morragie. Il avait la main de par hasard, souffla-t-il. AprĂšs, tout se passa trĂšs vite. Mark prit le relais, en vaillant hĂ©ros caricaturĂ© de la veuve et de l’orphelin, pour empĂȘcher le sang de trop s’écouler de la plaie, et le bateau rentra vite Ă  quai, le conducteur passant un message radio pour qu’on appelle une ambulance qui arrive dix minutes aprĂšs notre arrivĂ© Ă  bon port. Franck s’était alors Ă©vanoui, mais le mĂ©decin du camping avait limitĂ© les dĂ©gĂąts. Nous, les adolescents, Ă©tions restĂ© Ă  part, Ă  environ cinq mĂštres. Beaucoup me regardaient, certains Ă©taient suspicieux, d’autres Ă©tonnĂ©s, et une trĂšs petite minoritĂ© impressionnĂ©e. Personnellement, je gardais le dos droit, totalement maĂźtre de mes attitudes et Ă©motions. Et l’ambulance eut emportĂ© Franck, nous nous dirigeĂąmes vers le camping. J’accueilli, totalement neutre, les compliments sur ma prĂ©sence d’esprit de la part du conducteur du bateau, mais je failli tuer quelqu’un lorsque Mark me fit le mĂȘme compliment. Ce type a des tonnes de filles Ă  ses pieds, pourquoi moi ? Il aime peut-ĂȘtre la difficulté Eh ben il va ĂȘtre servi, me dis-je, lui jetant un regard oĂč la haine ne transpirait presque Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2145 La nouvelle de l’accident fit le tour du camping en un temps Ă©clair, tandis que j’étais tranquillement dans ma tente en train d’écrire. Mes parents n’étaient pas lĂ , mais je remarquai que la trousse de toilette avait mal Ă©tait replacĂ©e, et je devinai qu’ils Ă©taient allĂ©s fumer discrĂštement. Mon histoire avançait j’avais tout les personnages, tout les Ă©vĂšnements principaux, ainsi que les lieux. Hasard, je prĂ©voyais de mettre la derniĂšre partie dans un camping. Je remarquais tout de suite le cĂŽtĂ© dramatique que cela procurera Ă  l’histoire. En fin d’aprĂšs-midi, mes parents Ă©taient passĂ©s par la tente. Ils avaient Ă©videmment entendu parler de l’accident, et ils me demandĂšrent, d’un ton un tantinet inquiet, si j’allais bien. Ils connaissaient la rĂ©ponse ils me connaissaient, Ă  force, mĂȘme si j’avais du mal Ă  l’admettre, mais je rĂ©pondis tout de mĂȘme un oui » totalement neutre. RassurĂ©s, ils s’en allĂšrent. Je posai alors mes affaires d’écriture, et je faisais une petite sieste. Je fus rĂ©veillĂ© une heure plus tard par quelqu’un qui s’était introduit dans ma tente. Je reconnaissais le type qui m’avait proposĂ© son aide, ce matin, et je me demandai ce qu’il voulait. Je remarquai, maintenant qu’il Ă©tait aussi prĂšs, qu’il Ă©tait un peu plus grand que moi, et assez musclĂ©. Il s’avança vers moi, et ce fut Ă  ce moment que je commençai Ă  m’inquiĂ©ter je vis enfin son regard, un peu fou, carrĂ©ment mĂ©chant. -Alors, la sorciĂšre, on se repose ?On avait visiblement racontĂ© beaucoup de chose sur moi, pendant que je me reposais. Et ce n’était pas du goĂ»t de tout le monde. Je devinai que ça devait avoir un rapport avec la sortie de ce midi –quoi d’autre ?- , peut-ĂȘtre m’accusait-on d’avoir provoquĂ© l’accident ? Vu le sorciĂšre », cela Ă©tait plausible
 -Bon, qu’est-ce ce que tu veux ? fit le garçon en s’approchant mĂ©chamment. Pourquoi es-tu venu ici ? Tu sais, tu es jolie, quand mĂȘme
Alors, il s’avança encore de deux pas, et me prit par les Ă©paules, avant de susurrer Ă  mon oreille -Tu veux baiser ?Je lui envoyĂ© alors un coup de genoux dans l’entrejambe, avant de l’envoyer valser avec une bonne droite. Il tombait au sol, et se releva, l’air fou. Tout en gardant un calme plus extĂ©rieur qu’intĂ©rieur, je soulevais mon matelas, et prenait le couteau qui se trouvait dessus. Au cas oĂč
 Mais soudain, il y eut un cri, et quelqu’un rentra dans la tente, pris le garçon, avant de le sortir de lĂ . Je dĂ©couvris un adolescent aux cheveux corbeaux, qui devait ĂȘtre ce matin sur le bateau. D’allure fine, il Ă©tait plutĂŽt grand, et, je dois l’avouer, avait un joli visage qui finissait dans un menton pointu. Je revins Ă  la rĂ©alitĂ© au moment oĂč les deux garçons touchaient le sable. Je fus tentĂ©e d’aller me battre, mais sortir avec un couteau le ferait mal, surtout que des adultes couraient dĂ©jĂ  par lĂ . Je cachai alors le couteau sous mon matelas, et je tournai la a Ă©tĂ© une dure journĂ©e, aujourd’hui. On raconte beaucoup de choses sur toi. Mais bon, ce ne sont que des saloperies attisĂ©es par la curiositĂ©. Jolie entrĂ©e en sais, Max, celui qui est venu t’aider tout Ă  l’heure, est assez sympa, et il a prit ta dĂ©fense. Oh, les autres l’ont juste mis un peu plus Ă  l’écart, mais bon. Je pense que ça lui ferait plaisir que tu ailles le voir. Cette fille Ă©tait, comme certaines autres personnes, de celles que j’arrivais Ă  bien aimer. MĂȘme si je ne faisais rien pour le montrer, leur compagnie ne m’était pas dĂ©sagrĂ©able. Un peu comme lorsque j’écrivais. -D’accord, rĂ©pondis-je, avec en tĂȘte le souvenir du certain Max. -Au fait, reprit-elle. Je m’appelle sourit, et se leva. Lentement, je la suivis, ayant prĂ©alablement Ă©teint la lampe. Nous passĂąmes prĂšs de plusieurs groupes de jeunes plus ou moins soĂ»ls, qui criaient et chantaient prĂšs du feu, mais Hannah m’entraĂźna plus loin, vers la petite forĂȘt. Max s’y tenait assis, et je n’eus pas besoin de lumiĂšre supplĂ©mentaire pour voir ses bleus. MalgrĂ© ces derniers, je le trouvai assez mignon. La soirĂ©e fut calme. On parlait, discutait, mais rien de plus, mais j’apprĂ©ciais tout de mĂȘme. Une entente Ă©tait passĂ©e directe entre nous trois, et on se contentait des silences, parfois, profitant juste du lien nouveau qui nous unissait. Je restais fidĂšle Ă  moi-mĂȘme, bien sĂ»r ! Aucun sourire ne vint illuminer mon visage. Mais Ă  la fin d’une soirĂ©e, ce n’est pas Ă  mon sourire qu’on voit si je me suis amusĂ©e, non, c’est Ă  mon vu le sourire d’Hannah quand nous nous sĂ©parĂąmes, elle avait aimĂ© ce qu’elle y avait lu. Alors, j’aperçus Mark qui, au loin, m’observait, avec un visage Ă©tonnamment soucieux par rapport Ă  d’habitude. Je prĂ©fĂ©rais me reporter sur mon agresseur et le sien. La nuit Ă©tait maintenant tombĂ©e, et je n’avais pour seul Ă©clairage la lampe de poche pendue au plafond, et le feu de camp, qui se situait Ă  une dizaine de mĂštres de mon emplacement. J’essayais d’écrire, mais mes pensĂ©es dĂ©rivaient, et je n’arrivais Ă  avoir que quelques bribes de l’histoire, que je notais tout de mĂȘme consciencieusement. Une nouvelle fois, j’entendis quelqu’un rentrer dans ma tente, et je relevais la tĂȘte, un tantinet plus nerveuse que les deux fois prĂ©cĂ©dentes. C’était la jeune fille de ce matin. Toujours le mĂȘme sourire, le mĂȘme regard
 et surtout le mĂȘme T-shirt ! Je faillis sourire en remarquant ce dĂ©tail, mais je n’en fis rien. Elle s’assit sur le lit de mes parents, comme la premiĂšre fois, et entama la discussion, comme la premiĂšre Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2145 Le lendemain, je passai la journĂ©e dans ma tente. J’eus Ă  peine le temps de commencer Ă  Ă©crire le matin, que Mac me rejoignit, et que nous commençùmes Ă  discuter. Il Ă©tait assez timide, et n’arrĂȘtait pas de se tordre les mains, ce qui m’amusait quelque peu. La discussion fut agrĂ©able, et un peu plus meublĂ©e que celle de la veille. Nous discutions de tout et de rien, dans le vrai sens du terme. Ca lui plaisait, Ă  moi aussi, et on le savourait chacun Ă  sa maniĂšre. Il me quitta le midi, pour aller manger, et je rejoignit, moi, mes parents, avec lesquels je passai le repas. J’eus le droit aux sempiternels questions sur si je m’amusais, je m’étais fait des amis, et tout le reste de la part de mon pĂšre, et je me contentais de manger tranquillement, feignant d’ĂȘtre trop affamĂ©e pour lui rĂ©pondre. AprĂšs le repas, mon pĂšre, ma mĂšre et moi retournĂąmes Ă  la tente. -Ouah, j’ai bien mangĂ©, moi ! s’exclama mon pĂšre, s’étalant pas la mĂȘme occasion sur son lit deux places qui se referma sur lui au niveau de la sĂ©paration. Ma mĂšre eut un petit cri de souris, et tentant de le libĂ©rer de sa prison de mousse, donna un coup de pied dans la trousse de toilette, libĂ©rant par contre ainsi les cigarettes. La pauvre femme ne savait plus oĂč donner de la tĂȘte. Avec un petit sourire en coin, un sincĂšre, que j’avais quand j’étais vraiment amusĂ©e par quelque chose –ce qui Ă©tait plutĂŽt rare- je replaçais les cigarettes dans la trousse, et aidai ma mĂšre Ă  libĂ©rer mon pĂšre en lui glissant Ă  l’oreille -On dira que je n’ai rien vu
Un peu plus tard, une fois mon pĂšre et ma mĂšre sortis, Hannah et Max arrivĂšrent. Max semblait de plus en plus timide, mais je le trouvais quand mĂȘme assez mignon, et Hannah, tout sourire, Ă©tait vĂȘtue d’une petite robe rouge. Je fus un peu déçue qu’elle ait remplacĂ© le T-shirt par cette robe. -Il y a un truc d’accro branche, cette aprĂšm. Ca te dit ?-Ouais, pourquoi pas
 rĂ©pondis-je, pas trĂšs enthousiaste. En attendant l’heure dite, nous restĂąmes dans la tente, et nous commençùmes une partie de carte. Au bout d’un certain nombre de manches –j’avais arrĂȘtĂ© de les compter
- nous nous rendĂźmes compte qu’il Ă©tait temps d’y aller, et nous nous dirigeĂąmes vers le lieu de rendez-vous. Quand nous fĂ»mes empaquetĂ©s avec tout ce qui Ă©tait censĂ© nous sauvĂ© la vie, nous partĂźmes sur le parcours, non loin du camping, qui dĂ©cidĂ©ment, Ă©tait plein de rĂ©serve. Je remarquai, une dizaine de mĂštres devant nous, le mec d’hier. Lui aussi prĂ©sentait de nombreuses traces des coups que Max lui avait portĂ©s. Cependant, Ă  sa vue, je ralentis un peu l’allure. Le dĂ©but du parcours se passa tranquillement. On avançait tous Ă  notre rythme, sur les diffĂ©rents niveaux de l’installation. Du coin de l’Ɠil, je ne pouvais m’empĂȘcher de surveiller le type qui m’avait brutalisĂ© hier, encore sur la terre ferme, Ă  cause d’un problĂšme de chaussure, ou de je-ne-sais-quoi. J’avançais en compagnie d’Hannah et de Max. On s’entraidait en silence, se hissant mutuellement, se faisant la courte Ă©chelle et toute la panoplie de la survie Ă  vingt mĂštres de hauteur. Je commençais Ă  regretter d’ĂȘtre venue, et je fis la remarqua Ă  voix haute, entre mes dents, mais que tout le monde entendit. Dans leurs regards, je vis que Max et Hannah pensaient la mĂȘme chose. Soudain, il y eut un claquement sec, et je vis, dans le coin de l’Ɠil qui lui Ă©tait rĂ©servĂ©, le type qui venait de faire ses premiers pas sur le parcours chuter, sa corde de sĂ©curitĂ© cassĂ©e. J’entendis de nombreux cris, et tous suivirent la chute de cinq mĂštres du type. Je commençais Ă  vouloir descendre, me demandant si je ne serais pas la suivante, quand mon regard en croisa un que je commençais Ă  croiser trop de fois ces derniers temps celui de Mark. Un regard calme et posĂ©, qu’on ne lui connaissait je ne sais pas pourquoi, mais un frisson me parcouru l’échine. J’étais devenue la bĂȘte noire du camping. On me mettait tout sur le dos. Enfin, surtout les adolescents. Les adultes avaient plutĂŽt pitiĂ© ils connaissaient bien le systĂšme des enfants Ă  mettre sur le dos d’une personne diffĂ©rente tout ce qui arrive de bizarre. Ce fut la raison principale qui me poussa Ă  rester durant les quatre jours qui suivirent l’accident de l’accro branche Ă  rester cloĂźtrer dans ma tente, Ă  Ă©crire. J’avais rĂ©guliĂšrement la visite d’Hannah ou de Max, ou des deux. Je me rapprochais d’eux de plus en plus, jusqu’à un point que je trouvais trop avancĂ©. C’était le point oĂč j’étais presque devenue la meilleure amie. OĂč j’étais censĂ©e divulguer mes secrets, et tout ce qui me tracassait. Et cela me dĂ©plaisait fortement. Et encore, ce n’était que du cĂŽtĂ© d’Hannah. Max s’était aussi rapprochĂ©, mais de façon plus subtile. J’avais l’impression qu’il Ă©tait amoureux. Oui, je les aimais bien, j’apprĂ©ciais leur prĂ©sence, oui max Ă©tait mignon, mais je ne voulais pas m’engager dans quoi que ce soit. En plus, ce n’était qu’un sĂ©jour au camping, et on ne se verrait plus aprĂšs. Pas le lieu idĂ©al pour s’attacher trop aux gens. C’est pourquoi, je mis un frein Ă  leur prĂ©sence, ce qu’ils remarquĂšrent aussitĂŽt. Le cinquiĂšme jour fut tendu, puis arriva le jour de la fĂȘte du Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Le soleil Ă©tait sur le point de se coucher, et tout le monde aidait Ă  prĂ©parer le feu de joie qui ferait la nourriture et la lumiĂšre de tous le soir. Je me baladais, de bien mĂ©chante humeur entre les seulement j’avais Ă©tĂ© forcĂ©e Ă  sortir ce soir lĂ , et ainsi Ă  dĂ©laisser mon histoire, qui en Ă©tait Ă  son dernier chapitre, mais en plus, je devais faire des efforts faramineux pour rĂ©ussir Ă  Ă©viter Hannah et Max, ce qui me mettait dans un Ă©tat de tel stress que je n’arrivais pas Ă  penser Ă  mon histoire qui se trouvait dans la poche arriĂšre de mon pantalon. Rageant. Soudain, plus loin, je vis mes parents en train de boire et de discuter avec un type avec lequel ils semblaient fort bien s’entendre dans la beuverie. Fort bien ! BourrĂ©s, ils m’oublieront. Ainsi, je me prĂ©cipitai vers ma tente, oĂč je serais en sĂ©curitĂ© pour justement lĂ  que Max et Hannah m’attendaient. Je freinais un maximum ma course folle, mais je perdis l’équilibre, et je dus faire de tels mouvements pour Ă©viter la chute qu’un aveugle m’aurait repĂ©rĂ© aux dĂ©placements d’air que j’ais provoquĂ©. En deux secondes, j’avais mes deux amis sur moi. Jusqu’à la tombĂ©e du soleil, je rĂ©sistai Ă  la tentation, et je les supportais, en y montrant, il est vrai, fort peu de bonnes volontĂ©. Mais c’est l’intention qui compte ! Quoi que dans ce cas de figure, l’intention n’était pas trĂšs claire
 Quoi qu’il en soit, au moment oĂč le feu de joie s’embrasait, Hannah me demanda si j’allais je ne vais pas bien. Non, je ne veux pas d’aide, continuai-je rapidement, en la voyant ouvrir la bouche. Je ne veux plus vous voir, en autant de tact qu’un zĂ©ro Ă©crit en rouge et en gros sur une feuille d’interro, mais au diable la sensiblerie ! -J’en ai marre, j’ai toujours Ă©tĂ© toute seule, et je ne suis pas prĂȘte Ă  ĂȘtre avec du monde, mĂȘme des gens aussi bien que vous. Surtout en camping, dans dix jours, on se voit plus. Alors vous aurez ouvert quelque chose en moi, mais vous n’en profiterez pas. Sur ce, je m’en allais en courant, ressentant de la culpabilitĂ© Ă  cause du ton, et de la tristesse pour je ne reviendrais pas sur ma nuit Ă©tait maintenant bien tombĂ©e, et j’étais prĂšs d’un des nombreux feu qui avait poussĂ© depuis que le soleil avait disparu, et la tempĂ©rature tombĂ©e. C’était Ă  la lueur des flammes que je continuais Ă  Ă©crire ma tragĂ©die. Anita avait Ă©tĂ© tuĂ©e par Franck, qui pour consoler Tom, l’avait emmenĂ© dans un joli camping. Romantique Ă  souhait !...Mais lĂ , j’étais bloquĂ©e. Le camping, mais quoi d’autre ? Les vacances allaient tournĂ© au cauchemar, c’est clair, mais je ne savais trouver les ingrĂ©dients de ce cauchemar. Je ne voulais pas trop en faire, et en faire tout de mĂȘme un minimum. Qu’allais faire Franck ? Tuer ? Non, trop gros. Alors quoi ?Ca faisait dix minutes que j’étais lĂ , stylo levĂ©, en train de rĂ©flĂ©chir, quand une des
 jeunes filles –terme auquel se limitera mon langage- qui ne semblait pas ce rassasier l’autre
 jeune homme –hum, hum !- se prĂ©nommant
 bref, ça n’a pas d’importance, vint s’asseoir Ă  mes lors, j’eus des envies de lui faire subir des tortures de mon invention, peut-ĂȘtre limitĂ©e, mais sortant droit de ma petite tĂȘte. Des trucs horribles, dĂ©passant l’imagination. Son imagination
Et si Mark voulait se joindre Ă  la fĂȘte, ce serait encore plus ! Elle s’assit face Ă  moi, rejetant en arriĂšre ses longs cheveux blonds. Parfaite caricature d’une de ses pou
 publicitaires travaillant dans une pub de soin de je ne sais quelle partie du corps. J’aurais bien voulu lui enfoncer mon stylo dans la gorge, mais ça aurait risquĂ© de tacher mon histoire. -Alors la sorciĂšre, on s’éclate ?Je t’éclate la tĂȘte Ă  coup de pierres. -Tu veux peut-ĂȘtre de l’aide pour
 tenir ton stylo en l’air ? Et elle partit d’un rire veux surtout de l’aide pour te tenir. -Peut-ĂȘtre que tu vas le lancer un sort avec ton papier maudit ?Tu ne mĂ©rites mĂȘme pas de le toucher
-CONNASSE !Sans m’en rendre compte, j’avais sautĂ© sur mes pieds. Des regards se tournĂšrent vers moi, dont des regards appartenant au fan club de l’autre frimeur de mes-deux-que-je-n’ai-pas. Mais les regards se tournĂšrent vers le sol, en mĂȘme temps qu’une odeur de brĂ»lĂ© montait Ă  mes baissais les yeux sur la criniĂšre enflammĂ©e de l’autre pouf. Et Ă  la vue des regards qu’on me lança, je me mis Ă  courir. Sans sentir un autre regard dans mon dos. Un regard que j’aurais Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Bon, il faut me comprendre ! Je ne suis pas surhumaine, aprĂšs tout
 Et il m’arrive que certains Ă©vĂšnements me touchent plus que d’autres, et ce qui s’était passĂ© durant la soirĂ©e m’avait mis les nerfs Ă  vifs, voilĂ  tout
Le point positif, c’est que, du point oĂč je m’étais, en haut d’une falaise, avec vue imprenable sur la mer et sur le camping, j’avais tout inventĂ©, et tout compris en mĂȘme temps. L’illumination. Tom et Franck sont tranquillement en vacances. Que fais Franck ? Il nargue Tom tout en commentant certaines exactions ni vue, ni connues. En effet, qui mieux que Tom peut dĂ©voiler Franck ? Alors pour dĂ©concentrer Tom, le psychopathe du groupe fait style d’enlever son T-shirt, dĂ©voilant ainsi son corps Ă  Tom. Ainsi, Franck peut lĂącher son T-shirt dans l’eau qui ira bloquer l’hĂ©lice du bateau, faisant ainsi tomber tout le monde dans l’ qu’un des passagers peut avoir la main tranchĂ©e ? C’est ainsi que j’avais dĂ©voilĂ© avait toutes les attitudes de Franck, le seul bug, c’était je n’étais pas Tom. Soudain, des bras entourĂšrent mon corps. -Alors, on se cache pour mieux me retrouver ? Quelle gentille attention
J’arrĂȘtais alors carrĂ©ment de voix de Mark, mais avec en plus toute la folie qu’une voix humain pouvait exprimer. La peur me prit au plus profonde mon ĂȘtre, me faisant frissonner. -Et des frissons de plaisir, en plus ! Tu dĂ©passes mes plus, il croyait que j’avais envie de je sais que sous ta carapace, il y a quelqu’un
 J’étais comme toi, avant, puis aprĂšs quelques
 Ă©vĂšnements, je me suis un peu libĂ©rĂ©. Je peux te libĂ©rer, fais moi confiance
Oh, et en plus, il me proposait de tuer je ne sais quel sale type !C’est Ă  ce moment que la colĂšre prit place sur la espĂšce de petit enculĂ© Ă©tait encore plus vaniteux qu’un aille au Diable !Je baissai alors la tĂȘte, et la remontai d’un coup sec. En plein dans le nez. Il poussa une petite exclamation, et tomba en arriĂšre, m’agrippant au passage. Je tombai alors avec lui, lĂąchant mon carnet d’histoire. -Non !...Mais je ne pus en dire plus, et il m’enfonça la tĂȘte dans le vainement de bouger la tĂȘte, alors que lui me l’enfonçais encore plus profondĂ©ment dans le sable, et c’est ainsi que j’entendis un craquement Ă©touffĂ©. Mon nez venait de casser. De plus, je commençais sĂ©rieusement Ă  manquer d’ me concentrai alors sur d’autres choses. Mes mains. Un caillou. mains lĂąchĂšrent soudain ma tĂȘte, et je me relevais. Je frottai mon nez, enlevant le sable collĂ© Ă  mon sang, et courus sans rĂ©flĂ©chir vers mon carnet d’histoire que je ramassai. Puis, me retournant, j’aperçus Mark qui se relevait, le nez et l’arcade sourciliĂšre en sang. Alors je me mis Ă  n’avais jamais courus comme ça, et j’atteignais rapidement le camping. Tout le monde Ă©tait rĂ©uni en son centre, et je ne croisai personne. A l’approche de ma tente, je lĂąchai mon carnet d’histoire, que je retrouverai plus tard, et je m’engouffrai dans ma tente. Je soulevai mon matelas, mais il n’y avait pas le couteau. Je me souviens du regard de Mark, et je me couteau s’enfonça dans mon abdomen, et j’eus le souffle coupĂ©. EntraĂźnĂ©e par le poids de Mark, je tombai en arriĂšre. Il Ă©tait maintenant au dessus de moi, et avait lĂąchĂ© le couteau, le laissant dans mon ventre. Je gĂ©mis de douleur, ce qui lui provoqua un grand sourire. Lentement, il se pencha vers moi, et il posa ses lĂšvres sur les Enflure. Je vais te au moment oĂč j’eus cette pensĂ©e que ma main droite toucha la trousse de toilette. Le dĂ©o, et, surprise, le briquet mal m’emparais alors des deux dans ma main, chose plutĂŽt difficile, et j’attendis qu’il se relĂšve. J’avais un goĂ»t de sang dans ma bouche, qui couvrait son Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Le temps ma parut long, mais quand il se releva, j’eus enfin un plus grand de toute ma plus carnassier. Je levai alors le dĂ©o, appuyai sur le bouton, en actionnant le briquet que j’avais changĂ© de main, et dirigĂ© le jet vers sa cria de douleur, alors que ses cheveux, et le reste de la tente prenait feu. Il se releva en arriĂšre, se tenant le visage Ă  deux main, et, aveuglĂ© par la douleur, tomba sur la lit de mon pĂšre qui se referma, une nouvelle fois. Personnellement, je me relevai en vitesse, et sortis de la tente en courant. -Au feu ! Au feu ! Les vacanciers avaient repĂ©rĂ©s les flammes, et couraient dans ma direction. SauvĂ©e. -Mon carnet
. Soufflais-je Ă  ma mĂšre, qui venait d’arriver Ă  mon chevet. Je perdis connaissance avec pour derniĂšre vision la lune rougie par le feu, comme si elle Ă©tĂ© couverte de lune fois-ci, je pose le stylo pour de bon, et je ferme les yeux. J’ai racontĂ© l’histoire, mon histoire, comme je l’avais vĂ©cue. Oh, oui, elle est Ă©crite comme une fiction, mais ça la rend plus vivante, non ? Maintenant, je suis Ă  l’hĂŽpital du coin, chambre 204. Mon Ă©tat est trĂšs bon, et je dois quitter les lieux le lendemain. Oh, je ne suis pas déçue de partir, mais je dois avouer qu’un sĂ©jour Ă  l’hĂŽpital vaut toutes les vacances au camping !... Je n’ai pas revu Hannah et max, mĂȘme si je leur ai laissĂ© un petit mot, leur expliquant ma dĂ©cision sur laquelle je ne suis pas revenue. Mon histoire se termine ainsi, avec rien d’autre qu’une cicatrice, ma mĂ©moire, et ce texte pour prouver qu’elle est rĂ©elle. Je range le carnet dans le tiroir, et je regarde les cadeaux qui se trouvent sur ma table de chevet, et je m’arrĂȘte avec un sourire sur une carte d’anniversaire arrivĂ©e lĂ  par erreur, destinĂ©e Ă  une certaine Laureline. J’aime bien ce prĂ©nom. Je le prĂ©fĂšre en tout cas Ă  Elisabeth, mais bon. Mon regard se perd dans le ciel que je voie par la fenĂȘtre, et j’imagine le vent qui court dans mes cheveux. VoilĂ  quelque chose que j’aime sans concession. Je ferme les m’endors, avec un sourire d’ Ju' !! =D Contenu sponsorisĂ©Sujet Re [Concours AoĂ»t] [Concours AoĂ»t] Page 1 sur 1 Sujets similaires» [Concours Aout]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFais ton show !! LittĂ©rature Concours RĂ©sultatsSauter vers Par R. Morgan Griffin L'une des choses les plus difficiles Ă  propos de la douleur chronique est que vous seul savez Ă  quel point la douleur est douloureuse. Aucun test sanguin ne peut prouver que vous souffrez beaucoup. Il n'y a souvent aucun signe extĂ©rieur, comme un bandage ou un plĂątre. Il y a juste la douleur. "La douleur est toujours personnelle", a dĂ©clarĂ© F. Michael Ferrante, MD, directeur du centre de gestion de la douleur de l'UCLA Ă  Los Angeles. "C’est invisible pour les autres personnes qui vous regardent - et cela peut engendrer beaucoup de mĂ©fiance et de difficultĂ©s dans les relations." Que vous ayez mal au dos, aux migraines ou aux nerfs, il est possible que les gens ne comprennent pas ou ne croient pas ce que vous vivez. Cette suspicion pourrait ĂȘtre partagĂ©e non seulement par votre belle-famille ou votre patron, mais mĂȘme par votre mĂ©decin, ce qui peut avoir de graves rĂ©percussions et vous empĂȘcher de recevoir le traitement de la douleur dont vous avez besoin. Pour bien contrĂŽler votre douleur chronique - et votre vie - il ne suffit pas de dire Ă  votre mĂ©decin que cela fait mal. Vous devez apprendre Ă  parler de la douleur comment ressentez-vous, comment elle se situe sur une Ă©chelle de douleur et comment la douleur vous affecte. Qu'est-ce qu'une Ă©chelle de douleur? Tout le monde ressent la douleur diffĂ©remment. Certaines personnes ont des conditions qui devraient causer de grandes douleurs, mais ce n’est pas le cas. D'autres n'ont aucun signe de problĂšme physique, mais souffrent beaucoup. Votre niveau de douleur chronique ne peut pas ĂȘtre Ă©valuĂ© par un test scientifique ou un dĂ©pistage. Pour aider Ă  compenser ce problĂšme, de nombreux mĂ©decins s'appuient sur des Ă©chelles de douleur pour avoir une idĂ©e plus concrĂšte de la douleur d'une personne. Vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  vu une Ă©chelle de douleur dans le bureau de votre mĂ©decin. Un type courant montre une sĂ©rie de visages numĂ©rotĂ©s allant de 0 souriant et sans douleur Ă  10 pleurant Ă  l'agonie. Un mĂ©decin demanderait Ă  une personne souffrant de la douleur quel visage correspondait Ă  ce qu'il ressentait. Ils peuvent sembler simples. Mais les Ă©chelles de la douleur ont besoin de beaucoup de recherches, a dĂ©clarĂ© Steven P. Cohen, MD, professeur agrĂ©gĂ© de la division de la mĂ©decine de la douleur Ă  la Johns Hopkins School of Medicine de Baltimore. Alors que la douleur chronique est passĂ©e du statut de simple symptĂŽme Ă  celui de maladie grave, les Ă©chelles de la douleur sont devenues un outil d’évaluation et de surveillance de la douleur. Bien qu'ils soient utiles Ă  quiconque souffre, ils sont essentiels pour certains. "Les Ă©chelles de douleur sont particuliĂšrement importantes pour les personnes qui pourraient avoir du mal Ă  communiquer clairement", dĂ©clare Cohen. Cela pourrait inclure les enfants et les personnes ayant une dĂ©ficience cognitive. A continuĂ© Utilisation de l'Ă©chelle de douleur Bien sĂ»r, un problĂšme inhĂ©rent Ă  l’utilisation d’une Ă©chelle de douleur est qu’elle reste subjective. Une personne stoĂŻque pourrait dĂ©crire sa douleur comme un 2 sur l’échelle de la douleur, alors qu’une autre personne dĂ©crirait la mĂȘme douleur comme une 6. Pour qu'un mĂ©decin ait une bonne idĂ©e de votre douleur chronique, il ne suffit pas de dĂ©signer un seul visage ou un seul chiffre. Votre mĂ©decin aura besoin d'un peu de contexte, dit Seddon R. Savage, MD, prĂ©sident sortant de l'American Pain Society et professeur associĂ© auxiliaire d'anesthĂ©siologie Ă  la Dartmouth Medical School de Hanover, "Je demande aux gens de se souvenir de la pire douleur de leur vie", a dĂ©clarĂ© Savage. "Cela pourrait ĂȘtre une pierre au rein ou un accouchement. Ce niveau de douleur devient la rĂ©fĂ©rence Ă  laquelle nous comparons la douleur actuelle." Elle demande ensuite aux personnes d'Ă©valuer leur douleur au cours de la semaine Ă©coulĂ©e et leur demande d'attribuer un chiffre Ă  leur douleur la plus grave, la moins grave et son niveau typique. "Je demande Ă©galement aux gens de me montrer sur l'Ă©chelle de douleur quel serait un niveau acceptable", dit Savage. "Le fait est que nous ne pourrons probablement pas rĂ©duire la douleur chronique Ă  zĂ©ro. Mais nous pouvons viser un niveau qui permette toujours une bonne qualitĂ© de vie." Les Ă©chelles de douleur sont particuliĂšrement utiles pour surveiller la douleur au fil du temps, explique Cohen. En utilisant la mĂȘme Ă©chelle rĂ©guliĂšrement avec la mĂȘme personne, un mĂ©decin aura une bonne idĂ©e de l'Ă©volution de votre douleur et de l'efficacitĂ© de vos traitements. DĂ©crire votre douleur chronique Votre mĂ©decin doit savoir non seulement Ă  quel point la douleur fait mal, mais aussi Comment la douleur me fait mal, dit Savage. Le genre de douleur que vous ressentez peut en dire long sur la cause, disent les experts. Cohen dit que la douleur causĂ©e par une lĂ©sion tissulaire - comme l'arthrite ou le dos blessĂ© lors du pelletage de la neige - a tendance Ă  ressembler Ă  une douleur sourde. Mais la douleur nerveuse, qui pourrait ĂȘtre causĂ©e par de nombreuses conditions, telles que le diabĂšte et le syndrome du canal carpien, provoque gĂ©nĂ©ralement une douleur lancinante plus distincte. D'autres la dĂ©crivent comme une douleur brĂ»lante, bourdonnante ou Ă©lectrique. La douleur nerveuse est Ă©galement associĂ©e Ă  d'autres sensations qui ne sont pas douloureuses en elles-mĂȘmes, telles que des picotements ou des engourdissements, dit Cohen. Savage dit qu'il est Ă©galement important de discuter de toute variation de votre douleur. Comment cela change-t-il pendant la journĂ©e? Qu'est-ce qui fait plus mal? Qu'est-ce qui fait moins mal? Quand vous voyez un expert en douleur, allez-y prĂ©parĂ©. Soyez prĂȘt Ă  dĂ©crire votre douleur chronique, aussi prĂ©cisĂ©ment que possible, avec des dĂ©tails sur le dĂ©but de la douleur. Plus vous disposez d'informations, plus il sera facile pour votre mĂ©decin de traiter votre douleur. A continuĂ© Comment votre douleur chronique vous affecte-t-elle? Au-delĂ  de la gravitĂ© et du type de douleur chronique, il y a un troisiĂšme facteur dont vous devez discuter. "Il est vraiment important de parler Ă  votre mĂ©decin de la façon dont votre douleur affecte votre vie", dĂ©clare Savage. C'est un dĂ©tail crucial et souvent nĂ©gligĂ©. Lorsqu'une personne se prĂ©sente au cabinet mĂ©dical pour se plaindre d'une douleur chronique, de nombreux mĂ©decins se concentrent uniquement sur la cause. De toute Ă©vidence, le traitement de toute maladie ou condition sous-jacente est important. Mais votre mĂ©decin doit Ă©galement se concentrer sur le symptĂŽme qui vous a amenĂ© au bureau la douleur. Savage dit que vous devriez rĂ©flĂ©chir Ă  la maniĂšre dont votre douleur chronique vous affecte. La douleur vous rĂ©veille-t-elle la nuit? La douleur chronique vous a-t-elle fait changer vos habitudes? Ne faites-vous plus de promenades parce que la douleur est trop forte? Est-ce que cela a affectĂ© votre performance au travail - peut-ĂȘtre mĂȘme mettre votre capacitĂ© Ă  travailler en pĂ©ril? Donner des prĂ©cisions sur la façon dont votre douleur chronique affecte votre vie et changer votre comportement est la clĂ©, explique Savage. "Cela aide votre mĂ©decin Ă  comprendre Ă  quel point vous souffrez et Ă  apprĂ©cier la douleur en tant que problĂšme nĂ©cessitant un traitement", explique-t-elle. Obtenir le bon traitement de la douleur chronique Souvent, la douleur chronique est plus qu'une simple douleur. c'est une constellation de symptĂŽmes et de conditions connexes. Vous pourriez avoir besoin d'un traitement non seulement pour la douleur, mais pour la cause sous-jacente. Vous pourriez Ă©galement avoir besoin d'un traitement pour d'autres problĂšmes liĂ©s Ă  votre douleur problĂšmes de sommeil, dĂ©pression, anxiĂ©tĂ© ou douleur secondaire. "Traiter la douleur chronique n'est pas aussi simple que de prendre un seul mĂ©dicament", explique Savage. "C'est plus un processus en cours." Pour maĂźtriser la douleur, il est souvent nĂ©cessaire que plusieurs experts travaillent ensemble. Cela pourrait inclure votre mĂ©decin, un spĂ©cialiste de la douleur, un thĂ©rapeute physique, un psychologue ou un psychiatre, d’autres spĂ©cialistes - et vous. "Le patient est vraiment le membre le plus important de l'Ă©quipe", dĂ©clare Savage. Les mĂ©decins peuvent vous proposer des traitements pour votre douleur chronique, mais vous seul pouvez dire Ă  quel point ils fonctionnent bien. "Les patients qui ont l’idĂ©e que ça marche", Doc "ont tendance Ă  mal se comporter," dit Ferrante. Au lieu de cela, vous devez jouer un rĂŽle actif dans vos soins mĂ©dicaux. Soyez prĂȘt Ă  parler de votre douleur chronique et de ses effets - et Ă  dĂ©fendre vos droits, mĂȘme en cas de doute. "Vous ne pouvez pas Ă©couter les personnes qui doutent de la douleur que vous ressentez", raconte Ferrante. "Vous ne pouvez pas cĂ©der Ă  leur nĂ©gativitĂ©. Vous devez avoir confiance en vous et continuer Ă  essayer d'obtenir le bon traitement."

commander une echelle de la douleur